Emma Iks, artiste graveur, sculpteur et dessinateur, déploie tout au long de son œuvre une poésie déstructurante et brute d’hétéroclisme.
Pendant son adolescence, il a été initié à la gravure sur bois et à la sculpture au Mali, à Kangaba. Ainsi, l’artiste se joue de sa formation et d’inspirations renvoyant à l’artiste américain chef de file de l’art du duplicata des 80’s, comme à celui des motifs des toréros cubistes.
Tout cela au profit d’un habile mélange de textures et de couleurs abruptes, mêlées à l’imaginaire d’un adolescent n’ayant jamais vraiment quitté ses terres de jeunesse, portant alors ses productions au contraste mécano-poétique de ses collages.
Brocanteur, l’artiste repère puis chine des supports anciens de différentes natures, carnets de bars, comics, prescriptions médicales… qu’il réhabilite dans ses gravures.
Les motifs publicitaires d’origine, avec leur rendu industriel s’opposent aux résultats imparfaits des gravures qui sont exclusivement imprimés à la cuillère plutôt qu’à la presse, afin de sauvegarder ce résultat incertain et hasardé.

Emma Iks, artiste graveur, sculpteur et dessinateur, déploie tout au long de son œuvre une poésie déstructurante et brute d’hétéroclisme.
Pendant son adolescence, il a été initié à la gravure sur bois et à la sculpture au Mali, à Kangaba. Ainsi, l’artiste se joue de sa formation et d’inspirations renvoyant à l’artiste américain chef de file de l’art du duplicata des 80’s, comme à celui des motifs des toréros cubistes.
Tout cela au profit d’un habile mélange de textures et de couleurs abruptes, mêlées à l’imaginaire d’un adolescent n’ayant jamais vraiment quitté ses terres de jeunesse, portant alors ses productions au contraste mécano-poétique de ses collages.
Brocanteur, l’artiste repère puis chine des supports anciens de différentes natures, carnets de bars, comics, prescriptions médicales… qu’il réhabilite dans ses gravures.
Les motifs publicitaires d’origine, avec leur rendu industriel s’opposent aux résultats imparfaits des gravures qui sont exclusivement imprimés à la cuillère plutôt qu’à la presse, afin de sauvegarder ce résultat incertain et hasardé.
Artiste autodidacte, réalisateur et photographe de profession, Maxime aka Emma Iks (pour M.A.X.) est avide d’expérimentations à travers toutes sortes de pratiques artistiques. Après une période dominée par les dessins et la peinture, l’artiste revient à la gravure, héritage de ses années passées à Kangaba au Mali, où il s’initie à la sculpture et gravure sur bois. Depuis 2012, l’artiste est installé à Marseille où il partage son temps entre son atelier, la vidéo, et son activité de professeur d’Arts à l’école nationale d’architecture.
Passionné de brocante, l’artiste chine d’abord des supports anciens de différentes natures (le plus souvent carnets de bar ou prescriptions médicales). Les motifs publicitaires présents sur les papiers d’origine s’opposent, par leur rendu industriel, aux impressions aléatoires et imparfaites des gravures. Celles-ci sont effectuées en creusant des formes à l’outil dans une plaque de linoléum, ensuite plongée dans l’encre puis enfin pressée sur le support choisi.
Emma Iks aime piocher ses sujets non seulement dans le répertoire du réel, du vivant, mais aussi du graphisme kitsch ou classique présent sur n’importe quel objet ou emballage qui croise son regard. Cette pratique, proche de l’artisanat, permet à l’artiste de mener une réflexion sur la reproductibilité de l’œuvre. Cette notion de duplicata crée un parallèle avec la photographie, renforcé par le jeu sur les positifs et les négatifs.

Artiste autodidacte, réalisateur et photographe de profession, Maxime aka Emma Iks (pour M.A.X.) est avide d’expérimentations à travers toutes sortes de pratiques artistiques. Après une période dominée par les dessins et la peinture, l’artiste revient à la gravure, héritage de ses années passées à Kangaba au Mali, où il s’initie à la sculpture et gravure sur bois. Depuis 2012, l’artiste est installé à Marseille où il partage son temps entre son atelier, la vidéo, et son activité de professeur d’Arts à l’école nationale d’architecture.
Passionné de brocante, l’artiste chine d’abord des supports anciens de différentes natures (le plus souvent carnets de bar ou prescriptions médicales). Les motifs publicitaires présents sur les papiers d’origine s’opposent, par leur rendu industriel, aux impressions aléatoires et imparfaites des gravures. Celles-ci sont effectuées en creusant des formes à l’outil dans une plaque de linoléum, ensuite plongée dans l’encre puis enfin pressée sur le support choisi.
Emma Iks aime piocher ses sujets non seulement dans le répertoire du réel, du vivant, mais aussi du graphisme kitsch ou classique présent sur n’importe quel objet ou emballage qui croise son regard. Cette pratique, proche de l’artisanat, permet à l’artiste de mener une réflexion sur la reproductibilité de l’œuvre. Cette notion de duplicata crée un parallèle avec la photographie, renforcé par le jeu sur les positifs et les négatifs.